Voici maintenant plusieurs semaines que nos quatre lecteurs testent le nouveau serveur Synology FlashStation FS2500. Et ces derniers se sont attachés dans un premier temps à vérifier l’un des critères qui a fait la réputation du constructeur : la simplicité de mise en œuvre et d’utilisation.
Installé en moins de 20 minutes
En partenariat avec Synology, nous avons fait parvenir aux lecteurs un serveur ainsi que des disques flash du constructeur. Et dès réception, force est de constater que les choses vont vite. « L’installation a été on ne peut plus simple, note Guy-William Pivot, Team Leader infrastructure du véhicule électrique au sein du groupe Renault. Il nous a fallu environ 20 minutes pour le raccordement électrique et Ethernet, puis l’installation des 4 SSD dans la baie ». Même son de cloche du côté de Janick Bresler, responsable informatique de Synergis Environnement, pour qui « 15 minutes ont suffi pour déballer, brancher, mettre à jour et se connecter à l’interface », et de Mikaël Mesni, consultant innovation chez Global Smart Rescue, qui nous indique lui aussi que « le montage s’effectue en moins de 20 minutes ».
Ce dernier conseille néanmoins de bien vérifier la profondeur de la baie qui accueillera le serveur. « Ma baie par exemple n’est pas compatible car il lui manque juste 2 cm ». Janick note également un volume sonore plus important de l’équipement par rapport aux NAS Synology DS920+ et DS2419+ qu’il exploite habituellement, mais juge « normale » cette différence au regard d’un « form factor différent ». Le FlashStation étant très rapidement installé, nos lecteurs-testeurs commencent immédiatement à explorer l’interface de gestion et de configuration.
Des utilisateurs guidés à chaque étape
Le premier contact avec DSM 7, dernière version du système d’exploitation de Synology, semble convaincre les quatre professionnels et Janick retrouve très rapidement ses marques : « Comme d’habitude, les assistants sont clairs chez Synology. La simplicité de l’interface est bien là ! On n’est est pas dépaysé et l’infrastructure est très vite opérationnelle. » S’il convient donc de préciser que nos quatre testeurs utilisaient ou avaient déjà utilisé des solutions Synology avant ce test, Guy William insiste sur l’intuitivité de l’interface pour une large diversité d’utilisateurs : « La mise en route est très simple grâce à l’assistant web qui apparait à la première connexion. C’est accessible même pour quelqu’un qui n’a pas de connaissances particulières en administration réseau ou en stockage NAS. »
Les différents utilitaires nativement intégrés sont pensés pour faciliter et accélérer au maximum les différentes étapes de mise en route, comme en témoigne Sébastien Albiet, gestionnaire de parc informatique à l’INSPÉ (Institut national supérieur du professorat et de l’éducation) de l’Université de Franche-Comté. « L’application Synology assistant de Synology a immédiatement identifié le NAS et la configuration a pu se faire simplement. L’interface est toujours conviviale. Il est assez simple de naviguer et de trouver ce que l’on veut avec la fonction « recherche ». Avec une configuration à deux disques SSD de 1 To, la mise en route et la configuration du RAID s’est effectué en moins de 10 minutes. » Un sentiment d’accompagnement permanent que l’on retrouve dans les commentaires de Mikaël Mesni ; « Les outils de découverte réseau sont très pratiques. Pas la peine de faire un scan du sous-réseau dans lequel on a installé le NAS. L’outil de Synology le fait tout seul. »
Fichiers, machines virtuelles, conteneurs, des usages divers et variés
Le FlashStation est donc opérationnel. Il est temps de démarrer son intégration avec l’environnement existant des organisations afin de tester certains usages. Le FS2500 permet évidemment de créer une plateforme sécurisée de partage de fichiers : « c’est le B.A.-BA. », commente Mickaël Mesni. « Le partage de fichiers est en place avec les autorisations au niveau des utilisateurs du domaine. Aucune difficulté rencontrée », continue, Sébastien Albiet. Du côté du groupe Renault, Guy-William a également transféré sur le serveur environ 500 Go de données depuis plusieurs PC fixes, mais sans pouvoir profiter du double port 10GbE présent sur l’équipement Synology. « L’opération a été très rapide, mais limitée cependant par notre réseau Gigabit », indique-t-il.
Mais le FS2500 permet aussi d’héberger des machines virtuelles ou des conteneurs Docker. Pour Sébastien Albiet, tout se passe encore une fois sans encombre : « L’intégration s’est bien passée. La connexion au domaine pour la sécurité des répertoires a été rapide. Nous avons configuré une machine virtuelle Linux, un serveur web hébergeant quelques applications (GLPI, Nagios, Centreon), et tout fonctionne comme il faut. » Janick Bresler a lui « basculé certains applicatifs de supervision sur Docker » et souligne les capacités de consolidation du serveur : « C’est très agréable d’avoir 16 vCPU dans un NAS. Les VM peuvent facilement coexister sans encombrer l’hyperviseur vCenter. »
Des performances sur lesquelles les lecteurs-testeurs reviendront plus en détails dans la deuxième partie du test !
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