Sogedi opte pour une infrastructure hyperconvergée

Sogedi opte pour une infrastructure hyperconvergée


Un système hyperconvergé, réputé facile à piloter. Image : Dell VxRail.

Sogedi est une société de recouvrement et d’investigation sur des personnes débitrices créée en 1994 à Lyon et qui compte 170 collaborateurs.

Elle propose le recouvrement amiable et judiciaire de créances ; elle peut également procéder à des « enquêtes civiles » qui consistent à retrouver les nouvelles coordonnées de personnes débitrices ou de personnes bénéficiaires pour des contrats en déshérence.

En raison du fort développement de ses activités ces dernières années, la société a dû renforcer son système d’information. Fallait-il le faire migrer progressivement, par étapes ? Ou, au contraire, tourner une page et adopter une plateforme entièrement nouvelle, en acceptant une certaine rupture ? C’est cette deuxième option qui a été retenue.

Une infrastructure qui ne répondait plus aux besoins métier

Jusque-là, l’infrastructure informatique de Sogedi reposait sur une architecture de serveurs NAS utilisant un réseau de stockage SAN, répartie sur deux sites distants reliés par la fibre optique.

Cette infrastructure ne répondait plus aux besoins métier. « Notre infrastructure était vieillissante et surtout saturée ; le matériel obsolète était en fin de garantie », raconte Sébastien Rivière, responsable informatique de Sogedi.

« Plutôt que d’améliorer notre configuration existante, nous avons choisi une solution plus novatrice permettant une projection sur les quatre à cinq prochaines années, pour accompagner des prévisions de croissance de nos activités d’environ 5 % par an. »

Le choix d’une infrastructure hyperconvergée

Après une analyse des besoins et une étude de faisabilité, menée en partenariat avec son prestataire historique Axians, la DSI de Sogedi a choisi une solution d’hyperconvergence : l’infrastructure hyperconvergée VxRail de Dell Technologies.

« Cette solution répond aux besoins de l’entreprise grâce à sa grande flexibilité, à sa facilité de prise en main et à sa capacité à implémenter d’importants processus d’automatisation », souligne Sébastien Rivière.

La mise en place a été réalisée en trois semaines. « Les activités des collaborateurs n’ont subi aucune rupture », indique-t-on chez Sogedi.

Priorité au métier

La nouvelle infrastructure IT joue un rôle stratégique pour tous les 170 collaborateurs. « Elle permet un service optimal tout en restant compétitif dans un secteur très concurrentiel », fait valoir Sébastien Rivière.

Les besoins métier sont essentiellement liés à la capacité du système à optimiser les prestations client et automatiser des volumes importants de processus, tels que le traitement des appels téléphoniques ou la gestion des échanges informatisés sécurisés. « Ces capacités d’optimisation et d’automatisation permettent de maximiser les résultats de l’entreprise », explique la DSI de Sogedi.

La nouvelle infrastructure est administrée par trois personnes seulement, qui gèrent quotidiennement tout à la fois le réseau et le système, et assurent le support des utilisateurs.

Un investissement à long terme

Dans son choix, l’entreprise Sogedi a été accompagnée par son partenaire IT historique, Axians, et par Dell.

« Le travail de conseil de Dell a été à la hauteur de nos attentes, avec une offre financièrement très intéressante et des garanties techniques pertinentes », indique Sébastien Rivière.

« On peut compter aujourd’hui sur une technologie maîtrisée, facile à administrer et sécurisante, qui nous permet de regarder vers l’avenir et d’accompagner l’évolution de notre entreprise. »

Résilience et évolution

La mise en place de cette solution hyperconvergée a permis à Sogedi d’atteindre ses deux principaux objectifs.

En premier lieu, passer d’un système de gestion de crise de type PRA (plan de reprise d’activité) à un schéma PCA (plan de continuité d’activité). Mais aussi garantir un meilleur niveau de fiabilité et de résilience. Depuis son installation, tous les six mois, l’équipe IT réalise avec succès un test PCA, de façon très simple et peu chronophage.

Le deuxième objectif était de faire évoluer l’infrastructure sans avoir à la remplacer. « Nous sommes maintenant en mesure d’effectuer du « scale-in » pour augmenter les capacités mémoire ou stockage. Mais également du scale-out, pour prolonger la vie de l’infrastructure de plusieurs années et la rendre, en même temps, plus résiliente », relate Sébastien Rivière. « Par exemple, l’ajout récent de deux nœuds supplémentaires pour accompagner notre croissance s’est fait sans remettre en question l’existant, et surtout sans arrêt de production. De ce fait, l’infrastructure a facilement et rapidement gagné en capacité et en résilience », conclut-il.





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