les constructeurs peu convaincus par l’option FSD de Tesla

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L’un des grands objectifs de Tesla pour ses véhicules électriques est de pouvoir développer un système de conduite autonome intégrale, avec lequel le conducteur ne sera plus obligé d’assurer une supervision permanente.

Les travaux sont en cours depuis plusieurs années et ont donné lieu à une option FSD (Full  Self Driving) que le constructeur a commencé à déployer avec parcimonie en version beta, en fonction du profil des conducteurs et de la réglementation sur les marchés.

A terme, la conduite autonome intégrale pourrait aboutir à des capacités de taxis autonomes pour les véhicules Tesla, avec la possibilité de générer des revenus et de maintenir la valeur des voitures de la marque dans le temps.

Des discussions, pas de concrétisation

Elon Musk, patron de Tesla, avait aussi dans l’idée de proposer son système FSD sous licence à d’autres constructeurs. A l’approche de la finalisation de l’option de conduite autonome, il se disait même ouvert aux discussions.


Interrogé sur ce point lors du bilan financier du dernier trimestre 2023, l’homme d’affaires a confirmé que des approches avec d’autres constructeurs avaient été engagées mais que, d’une manière globale, ces derniers ne croyaient pas à la réalité de la conduite autonome.

Il indique que le sujet pourrait devenir plus concret dans le courant de l’année avec les nouvelles améliorations apportées au système FSD et appelle les autres constructeurs à discuter avec Tesla de l’opportunité de prendre une licence pour l’option de conduite autonome.

FSD Level 4, la solution ?

Elon Musk espère toujours pouvoir proposer une conduite autonome au moins de niveau 4 qui permettrait au conducteur de ne plus être systématiquement en supervision de la conduite pour reprendre le contrôle à tout moment mais, dans sa version beta actuelle, l’option FSD impose toujours de garder les mains sur le volant et de surveiller le trafic pour corriger toute erreur de décision de l’intelligence artificielle.

Avec une conduite autonome de catégorie 4, Tesla aurait en effet de sérieux arguments pour se démarquer et inciter d’autres acteurs à prendre une licence pour son système FSD. Sans cela, le doute sur son utilité subsistera.



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