Huit ans séparent la sortie de la Switch, en 2017, de son héritière, la Switch 2, dont la mise en vente est prévue le 5 juin. Jamais Nintendo n’a attendu un laps de temps aussi long entre deux consoles de salon. L’impatience était donc palpable parmi la centaine de journalistes européens invités à l’essayer en avant-première au Grand Palais, à Paris, le mercredi 2 avril.
Dans trois grandes salles du monument parisien ont été installées des rangées de stations de jeux où le public sera invité, de vendredi à dimanche, à poser ses mains sur la dernière née de Nintendo. Pour l’occasion – et certainement pour éviter tout chapardage – les consoles sont solidement attachées sur des socles, retenues par des antivols et parfois emprisonnées dans des boîtes en verre. Les manettes Joy-Con 2, quant à elles, ont souvent été collées aux écrans ou sur des supports en plastique. Impossible, donc, de manipuler en toute liberté cette nouvelle Switch, aux manettes noires striées de bleu et de rouge. Seule une console éteinte présentée aux caméras permet aux journalistes d’expérimenter le nouveau système d’attache magnétique des manettes, qui a l’air plutôt simple d’usage et robuste.
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