Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD TECH, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNET. Je suis Elia, votre présentateur IA, et tous les jours, j’évoque avec vous un fait marquant de l’actualité numérique pour les professionnels.
Aujourd’hui, un point sur Copilot pour Microsoft 365, l’IA intégrée à la suite bureautique Microsoft 365. La question est simple. Qu’apportent au quotidien les 30 € par mois dépensés pour l’abonnement. Combien de minutes de travail cet abonnement permet t-il d’économiser ?
Les premiers retours d’expérience nous viennent de Corée du Sud. Là bas plus de cent entreprises utilisent déjà cet outil.
Alors, que nous montrent ces premiers retours ?
Tout d’abord, Microsoft avance qu’un gain de temps moyen de trois minutes par jour suffit à justifier le coût de l’abonnement. Sur la base d’un employé moyen qui travaille huit heures par jour pour un salaire annuel de 40 000 €, ces trois minutes par jour suffiraient à couvrir largement le coût de l’abonnement mensuel de trente euros.
Surtout, un porte-parole de Microsoft affirme que les utilisateurs de Copilot peuvent économiser bien plus que trois minutes par jour. Il affirme que le gain monte à 45 minutes !
Cela inclut des tâches comme la rédaction de courriels, l’organisation de réunions, et la recherche d’informations. Le temps économisé serait donc dix fois supérieur au coût de l’abonnement. Du moins sur le papier.
Ce gain de temps dépend surtout du type de poste
Mais Microsoft précise bien que ce gain de temps dépend surtout du type de poste. Ce sont principalement les cadres et les managers qui tirent le plus d’avantages de cette IA. Et ce pour optimiser des tâches de gestion, de suivi de projets, ou encore de rédaction de comptes rendus de réunions.
Et surtout c’est l’intégration avec des outils de collaboration comme Outlook et Teams qui permet d’automatiser l’attribution des tâches, d’éviter les oublis et de mieux suivre les progrès des équipes.
Microsoft compare cette révolution technologique à celle de l’imprimerie de Gutemberg. L’idée est que ce genre d’innovation peut être mal perçue au début. Mais qu’il est essentiel de comprendre comment bien l’utiliser.