Ces conclusions sont tires d’une enqute mene par Vanson Bourne pour Apricorn, socit spcialise dans les cls USB cryptes, qui rvle galement que 27 % d’entre eux ont automatis les sauvegardes vers des rfrentiels centraux et personnels.
Cependant, prs de 60 % n’ont automatis les sauvegardes que vers un rfrentiel central.
« Cette situation est proccupante, car l’utilisation du cloud (ou de n’importe quel rfrentiel de stockage) comme unique lieu de sauvegarde risque d’entraner une interruption coteuse de l’activit si une entreprise subit une cyberattaque ou un problme technique qui rend ce service ou ses donnes indisponibles« , explique Jon Fielding, directeur gnral EMEA chez Apricorn.
L’tude montre galement que 15 % des dcideurs informatiques interrogs dclarent que le plus gros problme de la mise en uvre d’un plan de cyberscurit est de ne pas disposer d’une sauvegarde suffisamment robuste pour permettre une rcupration rapide en cas d’attaque. Pourtant, plus de 70 % d’entre eux ont d rcuprer des donnes partir d’une sauvegarde et 26 % ont subi une perte de donnes, les personnes interroges admettant n’avoir pu rcuprer que certaines donnes/documents ou avoir chou parce qu’elles n’avaient pas mis en place des processus de sauvegarde robustes.
« Les sauvegardes sont essentielles, mais des sauvegardes qui fonctionnent le sont encore plus« , dclare M. Fielding. « Les organisations doivent adopter la « rgle 3-2-1 » : avoir trois copies des donnes, sur deux supports diffrents, dont l’un est hors site. Cette rgle semble avoir t prise en compte par certains, tant donn l’utilisation de sauvegardes personnelles et centrales, mais il y a encore du travail faire. Une stratgie de sauvegarde arrondie dont le cur est le cryptage joue sur les forces de chaque emplacement de stockage dans le processus. Cependant, le processus de rcupration doit tre rigoureusement et rgulirement test pour garantir la restauration complte des donnes en cas de violation. »
Source : Apricorn
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Voir