Capcom a tenté de les camoufler au maximum, n’évoquant pas leur intégration avant le lancement du jeu et ne les déployant pas dans les versions de tests du titre fournies à la presse et aux influenceurs.
Car la version de Dragon’s Dogma 2 livrée aux joueurs est bien différente de celle proposée aux joueurs et Capcom a un peu trop tiré sur la corde des microtransactions.
Outre le fait que l’optimisation de la version PC par rapport à la version PS5 est complètement à la ramasse du fait du DRM Denuvo, on assiste à des bugs qui vont nécessiter nombre de mises à jour. Par ailleurs, les microtransactions sont largement mises en avant dans la version commerciale du titre avec des pubs très envahissantes.
Des microtransactions en pagaille
Sur Steam, on peut ainsi voir défiler plus de 21 DLC payants pour le jeu tout juste sorti… Et le pire reste que les éléments proposés en surcout ne sont pas qu’esthétiques, certains sont véritablement utiles dans le jeu. Par exemple, il faudra compter 3€ pour un kit de campement, des musiques personnalités ou des Portacristal pour la téléportation… Capcom facture également 1€ les appâts à harpies, ou encore des clés de geôles, des pierres de réveil, des cristaux de faille… Bref des éléments nécessaires au jeu.
Capcom détrousse les joueurs
Une situation décriée alors même que Capcom a profité de la sortie du titre pour adopter sa nouvelle politique tarifaire, le jeu étant proposé entre 70 et 80€ sur PlayStation 5… L’addition commence à être salée et les joueurs ont clairement l’impression d’être pris pour des vaches à lait, qu’importe l’intérêt du jeu lui-même.
On comprend mieux pourquoi Capcom a tout fait pour cacher ce système jusqu’au lancement du jeu, car finalement, c’est tout ce qui est critiqué depuis des années par les joueurs qui a été adopté par Capcom, qui de son côté pourrait ne rien changer tant l’affaire se veut rentable.