La console Sony PS5 Pro lancée le 7 novembre prochain au précieux tarif de 799,99 € doit permettre de relancer les ventes, faiblissantes après plusieurs années de commercialisation, de la console de salon de Sony.
De la même lignée que l’originale, elle conserve une partie de sa configuration matérielle mais la pimente par de nouveaux composants et des fonctionnalités qui vont réellement améliorer les performances et offrir un rendu visuel de haute qualité sans perdre en framerate.
Même CPU, GPU optimisé
C’est toujours à AMD qu’est confié le coeur de la machine grâce à un APU spécialisé. Un démontage de la console réalisé par un youtubeur brésilien avant tout le monde (et sans respecter l’embargo imposé par Sony) confirme la présence de la même partie CPU de 8 coeurs Zen 2 / 16 threads, peut-être pour des raisons de rétocompatibilité des jeux et toujours protégé thermiquement par du métal liquide.
On trouve également un GPU comportant 60 unités de calcul RDNA 3 et l’accélération matérielle du ray tracing qui sera proposée avec RDNA 4, d’où la dénomination RDNA 3.5 pour la console.
Le démontage montre une différence avec la PS5 : la mémoire n’est plus unifiée. La PS5 Pro dispose en effet de 16 Go de mémoire GDDR6 tandis que le CPU compose avec 2 Go de RAM DDR5.
GPU plus puissant et PSSR
Le nouveau GPU serait capable d’atteindre une puissance de traitement de 16,7 TFlops. La force de la PS5 Pro sera de pouvoir utiliser une technique d’upscaling 4K PSSR (PlayStation Spectral Super Resolution) et le support optimisé du ray tracing qui devraient créer une vraie différence de rendu par rapport à la PS5.
Equipée d’un SSD de 2 To, armée de 2 ports USB-C, un port USB-A, un emplacement SSD M.2 et un port pour disque optique, la console reste compatible WiFi 6 et Bluetooth 5.1 tout en disposant d’une connectique HDMI.
Rendez-vous dans quelques jours pour les premiers tests, prises en main, démontages et précisions sur la nouvelle console de salon de Sony.