Les températures records au Royaume-Uni ont provoqué mardi la fermeture de datacenters appartenant à Google Cloud et Oracle, perturbant ainsi toute une série de services cloud.
Google Cloud peine à refroidir ses bâtiments
Google Cloud a signalé qu’une panne liée au refroidissement dans l’un de ses bâtiments de Londres a commencé à 18h13 GMT (20h13 heure française). Le bâtiment héberge une partie de la capacité de la zone europe-west2-a de Google Cloud.
Dans la soirée, le problème a été partiellement résolu, la plupart des clients étant en mesure de lancer des VM (machines virtuelles) dans toutes les zones de europe-west2.
Certains clients de la zone europe-west2-a rencontraient encore des problèmes avec Google Compute Engine (GCE), Persistent Disk et Autoscaling. Google Cloud indique être parvenu à clore l’incident dans la nuit du 19 au 20 juillet.
Oracle surpris par les températures inhabituelles
En même temps, Oracle a annoncé qu’une partie de l’infrastructure de refroidissement de son datacenter du sud du Royaume-Uni (Londres) a connu des problèmes mardi, « en raison de températures non habituelles dans la région ».
Certains clients ne pouvaient pas accéder ni utiliser les ressources Oracle Cloud Infrastructure hébergées dans la région, notamment le stockage d’objets, le calcul et les volumes de blocs.
A 23h16 heure locale, une partie de l’infrastructure de refroidissement impactée avait été remise dans un état opérationnel. « Nous poursuivons les travaux de réparation pour réduire davantage les températures de fonctionnement et atténuer l’impact sur les services », a expliqué Oracle.
Source : ZDNet.com
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