Oui, l’alternative aux hyperscalers existe.
Et non, elle n’est pas complexe à mettre en œuvre. En matière de bureautique et d’outils collaboratifs, les entreprises ont tendance à se tourner naturellement vers le cloud pour trouver une solution simple à déployer et à gérer.
Pourtant, un simple NAS permet aujourd’hui d’accéder au même niveau de service, avec une maîtrise totale sur ses données et sans multiplier les coûts de licences pour les différentes fonctionnalités !
Concilier maîtrise et innovation
La question de la souveraineté des données n’est pas un enjeu récent pour les entreprises. Depuis l’avènement des solutions en mode cloud, ces dernières sont en effet constamment tiraillées entre leur volonté de conserver le contrôle sur leurs données et leur besoin d’offrir à leurs collaborateurs des solutions modernes leur permettant de travailler efficacement.
La brusque généralisation du travail hybride ces dernières années a fait pencher la balance vers les grands acteurs du cloud, pour permettre aux professionnels de collaborer en visioconférence, partager des documents ou encore exploiter les nouvelles capacités de l’intelligence artificielle, quel que soit leur lieu de travail.
Dans le contexte d’incertitude économique et politique actuelle, la France souhaite renforcer son indépendance technologique, en misant notamment sur l’émergence de services cloud de confiance sur le territoire français. Mais il existe également une autre voix, éprouvée et maîtrisée, celle du cloud privé.
Bureautique, collaboration, et même de l’IA !
Quoi de plus souverain que de conserver ses données chez soi ? Le NAS constitue une infrastructure extrêmement simple à mettre en œuvre et capable de répondre à une large diversité de besoins, aussi bien pour les PME que pour les grandes entreprises. Il permet d’apporter une réponse immédiate à la problématique de maîtrise des données, en offrant une solution de stockage sur site. Mais il peut également aller plus loin.
Les plateformes Synology proposent un écosystème logiciel complet, incluant notamment la suite Synology Office et la solution Synology Drive. La première offre tous les outils bureautiques de base pour travailler : traitement de texte (Synology Documents), tableur (Synology SpreadSheet) et présentation (Synology Slides). La seconde permet aux employés de synchroniser et sauvegarder leurs fichiers, de les partager avec d’autres ou d’y travailler en équipe.
© Synology
Synology Office entend également améliorer la productivité grâce à l’intégration prochaine de Synology AI Assistant (génération de texte, traduction automatique, analyse et suggestion de formule…).
Le tout avec des outils de protection nativement intégrés (chiffrement AES-256, contrôles d’accès, historique de versions…) pour garantir la confidentialité et l’intégrité des données.
Autrement dit : le NAS devient une véritable plateforme de cloud privé, totalement maîtrisée par l’entreprise et offrant une expérience de qualité pour les utilisateurs.
Que reste-t-il au cloud public ?
Le NAS coche donc les cases en termes de capacités matérielles et de richesse fonctionnelle.
Qu’en est-il du coût ? Les hyperscalers proposent des abonnements attractifs pour séduire les entreprises. Mais ces coûts sont récurrents, augmentent logiquement avec le nombre d’utilisateurs et peuvent grimper au gré des évolutions de la politique tarifaire du fournisseur. À tel point que le mouvement « Exit Cloud » prend de l’ampleur et que de nombreuses entreprises font aujourd’hui machine arrière pour rapatrier leurs données en interne.
Côté Synology, la réponse est simple : Synology Office et Synology Drive sont des solutions sans licence. Il n’y a donc aucun coût additionnel pour leur utilisation et le nombre d’utilisateurs ne sera limité que par la capacité physique du NAS à les prendre en charge.
© Synology
Et quid de la disponibilité ? Les services de cloud mettent en avant des SLA supérieurs à 99 %. Il est tout à fait possible de mettre en place des stratégies de redondance et de sauvegarde pour obtenir un taux de disponibilité équivalent, en s’appuyant sur les solutions Synology High Availability et Synology Hyper Backup.
Il est par ailleurs important de garder en tête que les fournisseurs s’engagent sur la disponibilité du service, mais ne sont pas responsables de la sauvegarde des données en cas de suppression accidentelle, de malveillance interne ou encore d’effacement dû à une politique de rétention mal définie.
Une souveraineté à portée de main
Les entreprises ont donc à leur disposition des infrastructures simples à déployer, performantes et embarquant (gratuitement) tout le software nécessaire à la productivité des employés.
La souveraineté à portée de main !