« l’implantation d’une deuxième puce Neuralink est prévue l …

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Elon Musk a déclaré que Neuralink avait pour objectif désormais d’implanter sa puce dans le cerveau d’un deuxième patient humain « au cours de la semaine prochaine ». Il a ajouté que l’entreprise s’efforçait de résoudre les problèmes matériels survenus chez le premier patient chez qui la puce a été implantée.

Elon Musk et les dirigeants de Neuralink ont aussi déclaré espérer implanter le dispositif chez « un nombre élevé de patients » cette année.

Neuralink est une startup de neurosciences fondée par Elon Musk en 2016. Son objectif ? Construire des interfaces cerveau-ordinateur (BCI – brain computer interface, le terme français est Interface Neuronale Directe – abrégée IND) pour enregistrer et stimuler l’activité cérébrale. Un des enjeux est de lutter contre les maladies ou les handicaps.

Un premier succès… mitigé

En janvier dernier, la société avait implanté avec succès sa première puce informatique dans le cerveau d’un patient humain.

Neuralink a réalisé cette première dans le cerveau de Nolan Arbaugh, 29 ans. L’opération s’est déroulée avec succès. Mais en mai dernier, certains fils de l’implant dans le cerveau ont commencé à rétrécir dans les tissus et ont cessé de fonctionner correctement. Cela aurait réduit le nombre de bits par seconde, entraînant une diminution notable de la vitesse et de la précision du contrôle de l’ordinateur.

Elon Musk a déclaré que seuls 15 % environ des canaux de l’implant Arbor fonctionnaient encore actuellement. Il a néanmoins indiqué que le patient utilisait le BCI pour regarder des vidéos, lire des livres, jouer aux échecs et à des  jeux vidéo, parfois jusqu’à 70 heures par semaine.

Aller plus loin dans les tissus cérébraux

Neuralink a déclaré pour répondre à ces problèmes vouloir insérer des fils plus profondément dans le tissu cérébral. Et ce afin de mieux suivre l’ampleur des mouvements.

Le BCI est étudié dans les universités depuis des décennies. Un certain nombre d’entreprises, dont Synchron, Paradromics et Precision Neuroscience, travaillent sur leurs propres systèmes.

Source : « ZDNet Korea »



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