On a testé… la Switch 2 de Nintendo, la console qui met le pied au plancher, sans sortir de sa zone de confort

On a testé… la Switch 2 de Nintendo, la console qui met le pied au plancher, sans sortir de sa zone de confort


Clac, clac. Notre premier réflexe face à la Switch 2 est de détacher puis de rattacher ses deux manettes, baptisées Joy-Cons 2. Fini les rails dans lesquels se glissaient les Joy-Cons 1 de son aînée, sortie en 2017 : ceux-ci s’attachent désormais grâce à de puissants aimants que nous actionnons à l’aide de boutons situés au dos de la machine. Clac, clac.

Le mouvement est plutôt agréable et nous le répétons donc plusieurs fois avant d’appuyer sur le bouton « on », le 22 mai, lors de la deuxième prise en main organisée par Nintendo à l’intention des journalistes français. Certes, une journée de présentation guidée par l’éditeur ne suffit pas à se faire une idée du potentiel de la console, que les médias ne recevront que quelques heures avant sa commercialisation, prévue le 5 juin.

Cette nouveauté n’a pas l’air de grand-chose, mais c’est encore l’une des plus marquantes de la Switch 2, pour le reste copie quasi parfaite de sa grande sœur. Avec ses teintes noires élégantes, son plastique robuste et son écran plus grand, elle évoque en apparence le modèle OLED (le plus cher) de la Switch première du nom. Pour le reste, si son design a été remodelé, il ne l’a été qu’à la marge – l’encoche pour glisser la cartouche, la forme du dock pour se connecter à la télévision ou la présence d’un second port USB-C, destiné à accueillir une caméra. Même une fois l’appareil allumé, la différence ne saute pas aux yeux : le menu d’accueil a été subtilement redessiné, mais sans trahir le design d’origine.

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