Image de couverture : L’ocarina est un instrument de musique à vent. Il permet au joueur d’interpréter des mélodies aux pouvoirs magiques.
Pourquoi on en parle. Il y a vingt-cinq ans, The Legend of Zelda : Ocarina of Time sortait au Japon sur la console Nintendo 64 – les joueurs français, eux, ont attendu le 11 décembre –, chef-d’œuvre dont le format, en trois dimensions (3D), n’était alors qu’à ses débuts. Après avoir déjà codifié le jeu de plate-forme en 3D avec Super Mario Bros 64 (1996), les équipes de Shigeru Miyamoto, cocréateur de Super Mario et Zelda, ont en effet révolutionné le jeu d’aventures en signant un jeu vidéo inventif, profond et épique.
Vendu à presque 8 millions d’exemplaires sur Nintendo 64, Ocarina of Time est aussi considéré comme l’un des meilleurs jeux vidéo de tous les temps et reste le jeu le mieux évalué sur l’agrégateur Metacritic, avec une note inégalée de 99/100.
Un jeu toujours d’actualité. En mai dernier sortait un brillant héritier, The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom, qui est, selon nous, l’un des plus solides candidats au titre de jeu vidéo de l’année. Plus récemment, le 7 novembre, on apprenait qu’un film inspiré de l’univers de la franchise était en cours de préparation, preuve s’il en fallait que les aventures de Link, le guerrier elf, sont plus que jamais à l’ordre du jour.
Quel a été votre rapport à Ocarina of Time ? Lui préférez-vous un autre Zelda et, si c’est le cas, pourquoi ? Breath of the Wild et sa suite Tears of the Kingdom en sont-ils de simples héritiers ou, au contraire, ont-ils renouvelé l’inspiration de la série ? Posez-nous toutes vos questions aux journalistes du service Pixels du Monde, Pierre Trouvé et Corentin Lamy.
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