Pour envoyer ses satellites Starlink de deuxième génération en orbite, Elon Musk mise sur Starship, le nouveau lanceur de SpaceX en cours de développement. « Nous avons besoin que Starship fonctionne et vole fréquemment, sinon Starlink 2.0 sera bloqué au sol », a déclaré le milliardaire de la technologie lors d’un passage sur la chaîne YouTube Everyday Astronaut. Et d’expliquer qu’envoyer Starlink 2.0 en orbite avec les fusées Falcon 9, actuellement déployées par SpaceX, qui propulsent actuellement la première génération de satellites Starlink dans l’espace n’est pas plausible.
« Falcon n’a ni le volume ni la masse en orbite nécessaires pour les nouveaux satellites Starlink 2.0. Même si nous réduisions le satellite, la masse totale de Falcon est loin d’être suffisante pour Starlink 2.0 », précise l’entrepreneur.
Si le premier satellite Starlink 2.0 a déjà été produit, il pèse en effet 1,25 tonne pour une longueur d’environ sept mètres. Une taille excessive pour les lanceurs actuels de SpaceX. A la mi-mai, SpaceX a indiqué que son service internet par satellite Starlink avait été déployé dans 32 pays et que, depuis la semaine dernière, Starlink est autorisé sur les sept continents, après avoir reçu l’approbation réglementaire au Nigeria et au Mozambique.
Source : ZDNet.com
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