voici quatre façons pour réutiliser votre ancien iPhon …

voici quatre façons pour réutiliser votre ancien iPhon ...


Image : David Gewirtz (avec l’aide de Kirk et Spock)

Suites aux récentes annonces d’Apple concernant les nouveaux iPhones, ma décision est prise. Je vais remplacer mon iPhone 12 Pro Max pour un iPhone 16 Pro Max.

  • Je choisis le modèle Pro parce que je ferai bon usage des 48 Mp ultra-large, du téléobjectif de 12 Mp (zoom optique 5X) et de la vidéo 4K à 120fps des appareils photo du modèle Pro.
  • J’opte pour le modèle Max parce que je préfère les écrans de smartphone plus grands, tant pour la productivité que pour l’utilisation générale.

Mais en fait, je n’échange jamais mes anciens iPhone. Je les trouve bien plus utiles en tant qu’écrans de contrôle et caméras supplémentaires pour ma production vidéo sur YouTube. Ils rejoignent mon parc de caméras en compagnie de deux reflex numériques, quelques action cam, ma DJI Pocket 2, trois iPad et quelques anciens iPhone, dont le minuscule iPhone SE (deuxième génération).

Le fait de disposer d’un large éventail d’appareils photo et de types d’appareils me permet de choisir parmi le matériel à disposition pour obtenir l’effet que je souhaite créer. J’utilise aussi souvent plusieurs appareils à la fois, qui me servent d’écrans, de surfaces de contrôle et d’appareils d’enregistrement.

En ce qui concerne plus particulièrement mes iPhone, nous allons nous pencher sur les quatre principales utilisations que j’en fais. J’ai réalisé mes premiers enregistrements en utilisant uniquement mon iPhone principal, puis je me suis rendu compte qu’il y avait des avantages à utiliser deux appareils ou plus en même temps.

1. Enregistrement en plongée

Ma première utilisation de deux iPhones en même temps a été l’enregistrement en plongée, au-dessus de ma tête. Il s’agit d’une forme d’enregistrement multicam (dont je parlerai plus en détail dans une minute).

Lors des unboxing (ou déballage) de matériel ou de prises de vue de processus, il est très utile d’avoir une prise de vue directe (pour lequel j’utilisais à l’origine mon principal iPhone) et une prise de vue de haut qui permet aux spectateurs de voir les détails de ce qui est en train d’être déballé.

David Gewirtz/ZDNET

2. Viseur à distance

On découvre environ cinq minutes après avoir installé son premier dispositif en hauteur que l’on ne peut pas voir ce qui est en train d’être filmé. Bien sûr, vous pouvez monter sur un tabouret ou une échelle, mais il est bien plus agréable de pouvoir voir ce qui est dans le cadre pendant qu’on filme.

Pour cela, j’utilise un autre iPhone ou iPad. J’ai commencé par l’application Remote de Filmic Pro. Mais plus récemment, je suis passé à MoviePro et MoviePro Remote. Vous exécutez l’application sur le smartphone servant de caméra. Vous pouvez utiliser l’application Remote (télécommande) sur le mobile destiné à être le viseur. C’est une combinaison très puissante.

J’utilise également un iPhone et/ou un iPad comme viseur à distance pour mon reflex numérique Sony. Vous devez utiliser l’application Sony Imaging Edge pour configurer cela. Puis l’appareil photo émettra vers votre appareil iOS, vous montrant non seulement ce qu’il y a dans le viseur, mais vous permettant également de contrôler le reflex numérique.

J’utilise également mon iPhone ou mon iPad comme viseur à distance sur mon reflex numérique Canon. Cet appareil photo n’est pas équipé d’une connexion sans fil. Mais il dispose d’une sortie HDMI destinée à un moniteur local. Je l’ai associé à un transmetteur HDMI sans fil (aujourd’hui introuvable) qui envoie la vidéo directement à une application iOS. Vous pouvez voir une configuration de cette installation ici-dessous.

remote-viewfinder

David Gewirtz/ZDNET

Il existe des transmetteurs HDMI pour appareils photo. Mais ils sont beaucoup plus chers que ceux que j’ai utilisé. Je pense que le marché des transmetteurs HDMI pour appareils photo s’est considérablement réduit au fur et à mesure que de plus en plus des appareils reflex numériques proposaient leurs propres méthodes de transmission directe sans fil vers les appareils iOS.

3. Enregistrement multicam

L’enregistrement multicam est le processus d’enregistrement d’une scène à l’aide de plusieurs caméras à la fois. J’utilise beaucoup l’enregistrement multicam pour mes vidéos tutoriels. Car chaque caméra montre un angle différent de ce je manipule ou fait.

Je trouve cela extrêmement utile, car je peux installer plusieurs caméras (j’en utilise généralement trois ou quatre) pour capturer différents angles de mon travail. Ensuite, je peux faire ce que je veux devant la caméra, souvent sans me soucier de savoir si la caméra peut capter cela. C’est particulièrement avantageux lorsque j’utilise un outil dangereux, et qu’il est beaucoup plus important pour moi de me concentrer sur mes gestes que sur mon apparence devant la caméra !

Il m’arrive de mélanger les caméras pour obtenir un certain effet. Mais le plus souvent, j’utilise simplement plusieurs appareils iOS, chacun capturant sa propre vue et stockant les résultats dans la bibliothèque Photos en vue d’une édition ultérieure.

Final Cut Pro sur Mac dispose d’un excellent outil pour synchroniser les enregistrements multicam. Il suffit de s’assurer que le son est enregistré sur toutes les caméras pour que le logiciel de montage synchronise automatiquement le tout.

Final Cut sur iPad a récemment ajouté sa propre fonction Live Multicam, qui permet de contrôler jusqu’à quatre iPads ou iPhones directement à partir d’un iPad, en passant de l’un à l’autre de manière dynamique.

apple.png

Image : Apple

Je me contente encore généralement d’enregistrer des flux distincts et de les synchroniser sur mon bureau, mais Live Multicam est idéal pour couvrir des événements.

4. Contrôleur de mouvements de robot

Et enfin il y a mes robots-caméras. J’en ai beaucoup, et ils sont tous contrôlés par mes appareils iOS. Voici mon bras articulé contrôlé :

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En plus du bras, il y a quatre autres robots sur cette photo (trois imprimantes 3D et la découpeuse laser). David Gewirtz/ZDNET.

Le bras a quatre degrés de mouvement. Il monte et descend et tourne de gauche à droite. La tête monte et descend également et tourne à gauche et à droite. En utilisant un logiciel de contrôle des mouvements, je peux définir des points de repère, puis configurer le logiciel pour qu’il se déplace entre ces points, en modifiant les réglages de la flèche en fonction des repères enregistrés.

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Capture d’écran par David Gewirtz/ZDNET

J’ai aussi quelques sliders, également équipés de têtes télécommandées, ainsi qu’un chariot de sol robotisé qui déplace un trépied entier en fonction des réglages effectués à l’aide du logiciel de mon iPhone.

Chaque dispositif nécessite son propre appareil iOS. Je peux donc programmer tous les mouvements à l’aide d’un seul iPhone. Mais si je veux contrôler séparément une slider ou une tête, il me faut un autre iPhone. Et si je veux monter aussi le bras sur un chariot robotisé, il me faut encore un autre appareil iOS pour la contrôler.

Les vieux iPhone ont de la valeur en tant qu’appareils photo et contrôleurs

Je reconnais que j’ai probablement un peu trop de robots. J’ai quelque chose comme une trentaine de robots semi-autonomes contrôlés indépendamment. Tout ce que je peux dire pour ma défense, c’est que j’ai une femme très tolérante.

Mais ce n’est pas le sujet de cet article. Ce que je veux dire, c’est que les vieux iPhone ont de la valeur en tant qu’appareils photo et contrôleurs.

Étant donné que la valeur de reprise est assez faible (surtout quand, comme moi, on garde son mobile pendant trois ou quatre générations avant de pas à un modèle supérieur), il est beaucoup plus intéressant pour moi de profiter de fonctionnalités supplémentaire de ces smartphones pour mon travail.

Source : « ZDNet.com »



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