33 % des organisations mondiales ne prennent pas au srieux la menace de la cyberguerre Tandis que 24 % d’entre elles ne se sentent pas suffisamment prpares pour y faire face, selon Armis

LinkedIn est la marque la plus usurpe par les cybercriminels et reprsente 52 % de toutes les attaques de phishing mondiales Il s'agit d'une hausse de 44 % par rapport au trimestre prcdent



Le rapport de la socit Armis, spcialise dans la visibilit et la scurit des actifs, se fonde sur une enqute mene auprs de plus de 6 000 professionnels de l’informatique et de la scurit travers le monde. L’lment de scurit le moins bien class aux yeux des professionnels de l’informatique est la prvention des attaques d’tats-nations (22 %).

« La cyberguerre est l’avenir du terrorisme sous strodes, offrant une mthode d’attaque asymtrique et rentable, dont la dfense exige une vigilance et des dpenses constantes« , dclare Nadir Izrael, directeur technique et cofondateur d’Armis. « La cyberguerre clandestine est en train de devenir rapidement une chose du pass. Nous assistons dsormais des cyberattaques effrontes menes par des tats-nations, souvent dans le but de recueillir des renseignements, de perturber les oprations ou de dtruire purement et simplement des donnes. Compte tenu de ces tendances, toutes les organisations devraient se considrer comme des cibles possibles d’attaques de cyberguerre et scuriser leurs actifs en consquence. »

Parmi les autres rsultats, 64 % des professionnels de l’informatique et de la scurit interrogs sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle « la guerre en Ukraine a cr une plus grande menace de cyberguerre« . En outre, 54 % des professionnels qui sont les seuls prendre des dcisions en matire de scurit informatique dclarent avoir t confronts davantage de menaces sur leur rseau au cours des six derniers mois (mai-octobre 2022) qu’au cours du semestre prcdent.

Plus de la moiti (55 %) des professionnels de l’informatique interrogs sont d’accord avec l’affirmation suivante : « Mon organisation a bloqu ou arrt des projets de transformation numrique en raison de la menace de la cyberguerre« . Ce pourcentage est encore plus lev dans certains pays, notamment en Australie (79 %), aux tats-Unis (67 %), Singapour (63 %), au Royaume-Uni (57 %) et au Danemark (56 %).

Interroges sur leur politique en matire de ransomware, 24 % des personnes interroges dclarent que leur organisation paie toujours, 31 % ne paient que lorsque les donnes des clients sont menaces, 26 % ne paient jamais et 19 % disent que cela dpend.

Source : Armis

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Voir aussi :

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