Alors que 70 % des fonctionnaires dclarent travailler virtuellement au moins une partie du temps, une nouvelle tude rvle des tendances inquitantes. Le rapport d’Ivanti rvle que 5 % des fonctionnaires ont t victimes d’une tentative de phishing. Cependant, 34 % d’entre eux ne pensent pas que leurs actions aient un impact sur la capacit de leur organisation rester en scurit.
En outre, 17 % ne se sentent pas en scurit lorsqu’ils signalent l’quipe de cyberscurit les erreurs qu’ils ont commises en matire de scurit et 36 % n’ont pas signal un courriel phishing qu’ils ont reu sur leur lieu de travail. Plus alarmant encore, 21 % dclarent qu’ils se moquent de savoir si leur organisation est pirate.
Nous sommes dans une situation d’urgence lorsqu’il s’agit de scuriser les infrastructures critiques, ainsi que les employs du secteur public et les donnes extrmement sensibles auxquelles ils ont accs. Les dirigeants gouvernementaux du monde entier ont reconnu cette urgence et prennent des mesures pour lutter contre les ransomwares et la dsinformation, et pour protger leurs actifs et infrastructures critiques. Si nous ne nous concentrons pas sur la cyberscurit comme un effort d’quipe et ne fournissons pas des mesures de scurit proactives qui permettent une meilleure exprience des employs, les quipes de scurit et les gouvernements continueront faire face une bataille difficile , dclare Srinivas Mukkamala, chef de produit chez Ivanti.
Les jeunes gnrations, censes tre l’aise avec la technologie, ne sont pas meilleures que les travailleurs plus gs en matire de scurit. En effet, les fonctionnaires de la gnration Z et les millinaux (la gnration Y) sont deux fois plus susceptibles de rutiliser leurs mots de passe la maison et d’utiliser le mme mot de passe sur plusieurs appareils et pour plusieurs connexions. Les employs de tous les secteurs et de toutes les gnrations continuent d’utiliser des notes autocollantes et des mots de passe faciles deviner, comme le nom de leur animal de compagnie ou leur date d’anniversaire.
Il semble galement y avoir un manque de formation en matire de sensibilisation, puisque seulement 27 % des fonctionnaires se disent trs bien prpars reconnatre et signaler les menaces telles que les logiciels malveillants sur leur lieu de travail.
Source : Ivanti
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