Qui devrait diriger OpenAI ? Les résultats du so …

Qui devrait diriger OpenAI ? Les résultats du so ...



La semaine dernière, Elon Musk a créé la surprise en proposant à Sam Altman 97,4 milliards de dollars pour OpenAI. Une offre que le dirigeant a rapidement rejetée, en ripostant avec une raillerie sur le rachat de Twitter pour une fraction de cette somme. Comme l’a expliqué Tiernan Ray, l’offre de Musk semble être un coup monté pour forcer la main d’Altman dans ce qui est devenu une relation qui a mal tourné entre les deux patrons.

Quels que soient les tenants et aboutissants de cette affaire, on peut se demander qui devrait diriger ce qui est sans doute l’entreprise d’IA la plus puissante au monde ?

Nous avons posé la question aux lecteurs de ZDNET et voici ce qu’ils ont répondu.

Un résultat sans appel

Notre sondage ZDNET réalisé par le biais de LinkedIn proposait trois noms pour diriger OpenAI : Altman, Musk ou un autre candidat. Sans surprise, Sam Altman a remporté une victoire écrasante avec 50 % du total des voix, contre 23 % pour Musk. Bien qu’aucun candidat tiers ne se soit manifesté dans les commentaires, plusieurs sondés ont indiqué qu’ils préféreraient « n’importe qui SAUF Musk ».

Ce sentiment découle probablement du pouvoir dont dispose déjà le milliardaire dans le domaine de l’IA, en particulier maintenant qu’il est conseiller du président Trump. Compte tenu des récentes coupes budgétaires de l’administration américaine en matière de sécurité et de réglementation de l’IA, un OpenAI contrôlé par Musk placerait l’un des plus grands acteurs de l’IA sous un petit parapluie d’intérêts.

Que cherche à faire Elon Musk ?

À l’heure actuelle, Sam Altman tente de lever 40 milliards de dollars auprès d’investisseurs tout en extrayant la branche à but lucratif d’OpenAI, OpenAI LLC, de la société mère, OpenAI Inc. (une organisation à but non lucratif). Certains théorisent qu’en lançant cette offre maintenant, Elon Musk essaie d’imposer une valeur à OpenAI et de mettre ainsi Altman dans une situation difficile avec son conseil d’administration en le forçant à une négociation difficile avec lui.



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